Ce vendredi-là, Marie-Anne avait rendez-vous chez le Dr Schwenck. Sur le point de s’y rendre, elle fit une chute et heurta violemment le genou. Elle avait très mal. Impossible de prendre appui sur cette jambe. Elle redoutait une fracture. Soutenue par une amie d’un côté et appuyée sur une canne de l’autre, elle se présenta au cabinet du médecin qui la rassura : « Non, il n’y avait rien de cassé, juste une entorse. »
Il lui fit faire quelques mouvements neuroposturaux « classiques » et elle put constater une légère amélioration. Le prochain rendez-vous fut fixé au lundi suivant.
Une amie bien intentionnée, et travaillant en milieu hospitalier insista pour l’emmener faire une radio. Mais Marie-Anne résista fermement.
Elle se souvenait d’un traumatisme précédent, rapidement soulagée par le docteur Schwenck au grand étonnement d’une autre amie qui, à l’époque, l’avait vue entrer dans le cabinet appuyée sur des béquilles et ressortir sans.
Après la deuxième consultation, trois jours plus tard, l’amélioration était nette. Huit jours plus tard, elle retourna une troisième fois chez le Dr Schwenck et l’après-midi, elle s’activa à la Vestiboutique de la Croix-Rouge, ce qui, pour elle, devait constituer un test. Ce dernier étant concluant, elle participa, le soir même, comme tous les mardis, aux mouvements de son atelier de neuroposture. Adieu l’entorse !
Avec les soins classiques : immobilisation par strapping, puis séances de kinésithérapie… Le problème aurait certainement duré plus de dix jours !
Témoignage du 12/02/2009 fait à Traenheim